Santiago, nouveau visage
Bien le bonsoir tout le monde,
C'est très déconcertant de loger dans un tout autre quartier de Santiago. A notre premier passage, nous étions dans le quartier Brasil, qui se repeuple doucement mais dont la renommée n'est pas fameuse (délinquance...). En attendant, l'hébergement n'était pas cher (et plus spartiate il est vrai). Cette fois-ci, nous avons opté pour un autre quartier, avant tout parce qu'il est plus proche à pied du centre et des endroits que nous voulions voir.
Pour le coup, les hôtels sont plus chers, équivalents à la France. L'avantage, c'est d'être bien situé et d'avoir des infrastructures en bon état. Le petit plus appréciable, c'est la piscine sur la terrasse du 17ème étage, et un petit-déj bien fourni (que nous avons pris devant un documentaire sur le Proche-Orient ancien, clin d'oeil) Et le côté déroutant, c'est le quartier en lui-même. Non pas qu'il ne soit pas plaisant, bien que le modernisme de Santiago (un pays à l'image de l'Europe ou des USA) me fasse regretter l'anarchie du Pérou, mais qu'il semble peuplé (ou fréquenté) par une population gay bien supérieure à la moyenne. Totalement décomplexée, souvent attendrissante... mais tellement nombreuse que ça change vraiment des moeurs français.
Autre point à signaler : la façon de se vêtir. Les gens sont excentriques, à l'aise, colorés, jeunes essentiellement. C'est dépaysant à sa façon, et porte souvent à sourire.
Ce matin, nous avons sillonné les rues plutôt désertes (le dimanche matin est trèèès calme) pour nous rendre à la feria Santa Lucia (un des centres artisanaux de Santiago). De nouveau il a fallu attendre, l'ouverture ne se faisait qu'à 10h30. Mais une fois les portes ouvertes, à nous la caverne d'Ali Baba. On y a passé plusieurs heures, à comparer, essayer... Une fois de plus, nous en sommes sorties ravies.
Déjeuner à 14h30, en terrasse sous un soleil radieux (on doit facilement atteindre les 25°C ici, un vrai plaisir). Après quoi nous nous sommes rabattues vers la piscine de l'hôtel, pour faire quelques longueurs (pour moi les permières depuis ma crise d'il y a plusieurs semaines, enfin un peu d'exercice) et une séance bronzette.
Aaaah le soleil, amore mio! Je n'ose pas penser au retour en France, avec le froid et la pluie, yeurk!
Finalement après la douche je me suis endormie sur le lit, il n'est pourtant pas tard. Et hop, de nouveau d'attaque pour aller... dîner. Quelle vie trépidante nous avons !
Nouvelle aventure ethnologique : la bière chilienne. Ce soir, on enquête et on pratique :
A demain pour une nouvelle chronique chilienne.
Bisous,
Sandra
C'est très déconcertant de loger dans un tout autre quartier de Santiago. A notre premier passage, nous étions dans le quartier Brasil, qui se repeuple doucement mais dont la renommée n'est pas fameuse (délinquance...). En attendant, l'hébergement n'était pas cher (et plus spartiate il est vrai). Cette fois-ci, nous avons opté pour un autre quartier, avant tout parce qu'il est plus proche à pied du centre et des endroits que nous voulions voir.
Pour le coup, les hôtels sont plus chers, équivalents à la France. L'avantage, c'est d'être bien situé et d'avoir des infrastructures en bon état. Le petit plus appréciable, c'est la piscine sur la terrasse du 17ème étage, et un petit-déj bien fourni (que nous avons pris devant un documentaire sur le Proche-Orient ancien, clin d'oeil) Et le côté déroutant, c'est le quartier en lui-même. Non pas qu'il ne soit pas plaisant, bien que le modernisme de Santiago (un pays à l'image de l'Europe ou des USA) me fasse regretter l'anarchie du Pérou, mais qu'il semble peuplé (ou fréquenté) par une population gay bien supérieure à la moyenne. Totalement décomplexée, souvent attendrissante... mais tellement nombreuse que ça change vraiment des moeurs français.
Autre point à signaler : la façon de se vêtir. Les gens sont excentriques, à l'aise, colorés, jeunes essentiellement. C'est dépaysant à sa façon, et porte souvent à sourire.
Ce matin, nous avons sillonné les rues plutôt désertes (le dimanche matin est trèèès calme) pour nous rendre à la feria Santa Lucia (un des centres artisanaux de Santiago). De nouveau il a fallu attendre, l'ouverture ne se faisait qu'à 10h30. Mais une fois les portes ouvertes, à nous la caverne d'Ali Baba. On y a passé plusieurs heures, à comparer, essayer... Une fois de plus, nous en sommes sorties ravies.
Déjeuner à 14h30, en terrasse sous un soleil radieux (on doit facilement atteindre les 25°C ici, un vrai plaisir). Après quoi nous nous sommes rabattues vers la piscine de l'hôtel, pour faire quelques longueurs (pour moi les permières depuis ma crise d'il y a plusieurs semaines, enfin un peu d'exercice) et une séance bronzette.
Aaaah le soleil, amore mio! Je n'ose pas penser au retour en France, avec le froid et la pluie, yeurk!
Finalement après la douche je me suis endormie sur le lit, il n'est pourtant pas tard. Et hop, de nouveau d'attaque pour aller... dîner. Quelle vie trépidante nous avons !
Nouvelle aventure ethnologique : la bière chilienne. Ce soir, on enquête et on pratique :
A demain pour une nouvelle chronique chilienne.
Bisous,
Sandra
coucou
RépondreSupprimerJe vois que tout va pour le mieux, c'est bien profitez des denières heures qui vous restent et surtout du soleit car ici c'est triste au niveau de la météo.
Aujourd'hui depart pour Toulouse porter les canadiens et oui certains partent d'autres rentrent, c'est la vie.
Bon je vais dejeuner car la journée qui arrive va etre chargée.
BISES à vous 2
Bonjour d'un Périgueux sous la grisaille, mais il ne fait pas froid. Bravo pour la photo dans la piscine, c'est super après des déplacements fatiguants, celà me rappelle (et je pense aussi à Domy) à la baie de saint Nicolas en Crête...
RépondreSupprimerbises à toutes les deux, profitez au max de ces dernières journées
Pascale
salut les filles
RépondreSupprimerthanks pour les commentaires
vous avez encore passé une belle journée, veinardes.
c'est vrai que la piscine fait penser à l'hôtel de crète (qu'on était bien ) Elle est jolie cette photo. je suis sure que vous allez ramener le soleil avec vous.
bonne fin de séjour, profitez, profitez
la phrase du jour : lol (mathilde et gilbert c'est que du bonheur!)
biz à vous deux
Excuse-moi, Mathilde, mais je viens de baver sur ton clavier. De baver d'envie de devant cette piscine où l'eau semble merveilleuse!Les aventures se calment un peu. N'hésitez pas à vous payer un peu de luxe, ça ne vous fera pas de mal après ces rudes journées.J'ai pris goût à ce rendez-vous du soir pour quelques commentaires. Ca va me manquer. Tu me parle de délinquance, faites attention de revenir avec vos deux reins chacunes. Ce n'est pas une blague, il y a des trafiquants de tout. Bonne continuatio et bisous à toutes les deux.
RépondreSupprimerBien, je recommence car j'ai "merdé" quelque part: il est inscrit 4 commentaires et le mien a été pulblié d'après l'écran mais je ne vois toujours que 3 commentaires ( et pas le mien!)Donc, je disais de m'excuser, Mathilde, car j'ai bavé sur ton clavier.Bavé d'envie en voyant la piscine et son eau qui semble merveilleuse! N'hésitez pas à vous payer un peu de luxe, ça vous fait du bien après ces quelques rudes journées.Tu parles de délinquance: faites attention à revenir avec vos deux reins chacunes ( entre autre).C'est pas des blagues, tout est bon pour les trafiquants!
RépondreSupprimerJ'ai pris gout à ce rendez-vous du soir pour les commentaires. Ca va me manquer.
Bonne continuation et bisous à toutes les deux.